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 FABIAN •• Get on you feet and live ••

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Fabian N. Sampi


Fabian N. Sampi




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Cagnotte : 5
J'ai : 30 ans
Je suis : Etudiant en art
Je vis : Los Angeles
Mon personnage est :
  • Décloisonné

Je ressemble à : Zac Efron
Je suis là depuis le : 17/02/2018
Mes conversations : 43
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MessageSujet: FABIAN •• Get on you feet and live ••   FABIAN •• Get on you feet and live •• EmptyLun 29 Avr - 14:15


FABIAN NAITE SAMPI  
  Feat ZACH EFRON    
 
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 Mon Caractère et mes petites manies

Fabian est un homme qui se présente comme très ouvert aux autres, toujours prêt à rencontrer des gens. Mais bien souvent, il met une barrière entre les gens et lui. Son vécu fait qu'il avance le plus prudemment possible, pour ne pas se reprendre des portes sur le nez. Il est assez souriant généralement, et parait très accessible, mais il a un caractère assez particulier pourtant. Renfermé, qui fait difficilement confiance aux autres, parfois même à lui même, bien qu'il n'ignore pas ses capacités, et qui il est. Il est parfois un peu arrogant, notamment dans ses réponses face aux gens qui l'agacent. Fabian n'aime pas qu'on le contredise quand il est sûr et certain de ce qu'il avance. Et d'ailleurs, il va tenter de trouver par tout moyen de preuve possible qu'il a raison. Et généralement, quand il s'entête de telle manière, c'est qu'il a raison. Et quand bien même, il découvrirait que depuis le début, il se trompait, il ne l'avouerait pas si facilement. Il ferait profil bas, oubliant le sujet de la conversation, en allant presque jusqu'à le nier.
Dans le fond, il reste une bonne patte. Il rit facilement, il tente de ne pas s'énerver de trop, bien qu'il rejette toute idée d'injustice, et fait la guerre à toute personne amorçant un soupçon d'injustice ou toute personne qui profite d'un avantage au détriment de quelqu'un d'autre.  

Fabian passe son temps à manger. A grignoter des barres de céréales, ou des petits gâteaux comme les "petits princes". Mais c'est comme un besoin. Sans ça, il passerait sa journée à fumer. D'ailleurs, depuis deux ans, qu'il a la garde de sa fille, il a bien réduit les doses. Si avant, il pouvait en moins d'une semaine, descendre deux paquets, désormais, il se réduit à une ou deux clopes par jours.
Fabian passe beaucoup de temps chez sa mère. Et pour cause, c'est là que se trouvent les deux femmes de sa vie : sa fille et sa mère.
Il est un fan de moto. D'ailleurs il en a une, et il n'y a pas d'autres moyens pour se déplacer qu'il aime utiliser plus que ça. Même quand il a la possibilité d'utiliser la voiture. Il ne l'utilise qu'en cas de grande nécessité. Comme par exemple, quand il doit se déplacer avec sa fille et sa mère.
Il est à Los Angeles depuis 8 ans, avec sa mère.

 
   

 
  █ Ouvert :
70%

  █ Prudent :
83%

  █ Arrogant :
35%

  █ Sur de lui :
62%

  █ Têtu :
73%

  █ Bon public :
81%

  █ Bonne patte :
54%

  █ Juste :
82%

  █ Détaché :
98%
citation
  30 ANS
   
  DIVORCE    

  HETEROSEXUEL    

  Je suis BARMAN & ETUDIANT EN ART
 
  Je vis à LOS ANGELES 
 
  Je suis dans LE BEL AGE

  Mon univers : REEL CITY

  CR4   
 
   Derrière l'écran    
 
TON PTIT NOM : Melais/Naïs ∴  AGE : 23 ∴ ♀ OU ♂ : ♀∴ D’OÙ VIENS TU ? : de France∴ TON PERSONNAGE EST: Inventé ∴ COMMENT AS-TU TROUVÉ THE SHELTER? : j'y étais au début, un vrai coup de coeur ∴ UNE DERNIÈRE CHOSE A DIRE : Spiderman, ça déchiiiiiiire  


Dans ma vie il y a...
Liste de mes PNJ et des mes scénarios/Pré-liens présents dans mon histoire.
Tu peux éditer cette partie après ta validation pour ajouter les liens. Si tu n'as pas de pré-liens ou de scénario, supprime simplement la partie après la "|"

Nom du personnage | ICI
Court résumé de qui ce personnage est pour toi

Nom du personnage
Court résumé de qui ce personnage est pour toi


...et il me manque
Liste de liens non évoqués dans ma fiche et que je recherches

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Dernière édition par Fabian N. Sampi le Dim 12 Mai - 15:44, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: FABIAN •• Get on you feet and live ••   FABIAN •• Get on you feet and live •• EmptyLun 29 Avr - 14:15


Ma petite vie
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Bienvenue à Los Angeles, la cité des anges, la ville de tous les excès et de tous les possibles, accueillant les rêves de grandeurs et de décadence de tout un chacun. Dans cette ville où les apparences prennent tant de place, où les ambitions poussent à tous les extrêmes et ou les désillusions sont parfois grandes, il est possible de trouver quelques habitants qui n'ont que faire du règne despotique de ce grand panneau "Hollywood" trônant fièrement sur les hauteurs de la ville, et pour qui, la vie a une toute autre couleur. Ici aussi, on peut trouver des gens simples et vrais, pour qui les strass et les paillettes n'ont pas la moindre importance, des gens qui n'aspirent qu'à être heureux et à atteindre leurs rêves un peu moins grands que ceux des autres.
C'est dans ce bain où se côtoient quotidiennement, paillettes et baskets, faux semblants et simplicité de vie, couteau dans le dos et câlins chaleureux, que baignent et se débattent les habitants de cette ville si merveilleuse et si passionnante.  
« MON CONTEXTE DE JEU »
Naître dans une famille où le père est militaire, c'est pas toujours simple au quotidien. Le père ne quitte jamais vraiment la base, dans sa tête. Du coup, maison ou boulot, les mêmes règles s'appliquent. Souvent, les enfants de militaires sont les plus difficiles à gérer. Ils n'ont pas vraiment le droit de s'exprimer, alors, une fois grandis, ils se rebellent. Pourtant, ce ne sont pas des mauvais bougres. Je ne suis pas un mauvais bougre.
Mon père faisait partie de la base militaire de l’Oklahoma, et était souvent absent. Nous n'avions pas vraiment eu l'occasion de partager, tous les deux. Sauf quand il rentrait, en permission ou en congé, je n'en savais rien, et encore, ça ne se passait pas toujours bien. Il était un peu trop près d'un inconnu pour moi. Heureusement, ma mère, Ana-Maria a toujours été une femme affectueuse, à l'écoute et très présente. Elle a toujours été une mère formidable, certainement la meilleure que la Terre n'ait jamais engendrée. Lui, il n'est revenu pour un long-terme que pendant deux ans, j'avais dix ans. Les premiers mois s'étaient avérés très compliqués. Je n'avais pas eu l'habitude d'avoir un père. C'était quelque chose de nouveau, et lui, il gérait pas vraiment en tant que père.

Finalement, après des efforts d'un côté comme de l'autre, on avait appris à s'apprivoiser. Et voilà qu'un beau jour, il y a eu un courrier. Un courrier qui annonçait qu'il devait partir en Afghanistan, pour faire la guerre. Je crois que ça a été la séparation la plus difficile pour moi. J'avais enfin connu cet homme en tant que père, pendant plus de deux mois et voilà qu'après vingt-quatre, on l'oblige à partir. C'est certainement à partir de ce moment que j'ai commencé à me comporter comme un petit con. Pour lui faire payer. Pour faire payer au monde. C'était des petites choses. Comme faire croire en plein examen qu'il y avait une bombe dans le lycée. Faire disparaître les sujets d'examens, ou en mettre d'autres, sans aucun sens. L'arrogance aussi, c'était mon maître mot. Avec lui, les liens étaient devenus plus infimes que jamais. Ses lettres, je les brûlais. Même lorsqu'elles étaient adressées à ma mère. Quand il avait des permissions, je lui adressais à peine la parole pour lui demander le sel à table. Un vrai petit con.

C'était après une de ces permissions que le pire était arrivé. Il n'était plus rentré. Au début, je culpabilisais un peu, surtout vis à vis de ma mère. Je pensais que c'était mon comportement qui l'avait fait refuser toute permission. Mais non, la vérité était qu'il avait disparu au combat. Six mois. Six longs mois sans nouvelles. Et deux hommes sont venus à taper à la porte de la maison, un beau jour. Deux officiers, dont un que ma mère connaissait. Et ce qu'ils nous avaient dit ce jour-là a résonné longtemps dans ma tête. Parfois, dans mon sommeil, j'ai l'impression d'entendre encore leurs voix résonner. Mon père était mort au combat, dans un assaut ennemi. Ils avaient peiné à identifier et trouver tous les corps. Le sien serait rapatrié dans peu de temps. Et là, j'avais l'impression que mon monde venait de vaciller pour toujours.

S'en étaient suivies de longues années difficiles. Avec ma mère, surtout. Elle était malheureuse, et moi, j'étais coupable. Je vivais avec cette culpabilité, incapable d'en parler. Alors, il a fallu que mon avant dernière année au lycée, je rencontre un professeur d'histoire. Quelqu'un de bien, vraiment. Peut-être qu'avec lui, j'ai fait un transfert du père, comme l'appellent les psychologues. Mais ça m'a aidé. A me pardonner. A parler à ma mère. A accepter son pardon, elle qui ne m'en voulait même pas une seule seconde. Et surtout, il m'a aidé a trouver ma voix. Je voulais faire quelque chose de ce monde. Faire l'armée aussi. Marcher dans les pas de celui que je n'avais, dans le fond, pas eu la chance de connaître assez.

A mes dix-huit ans, je me suis engagé dans l'armée. Je voulais ressembler à mon père. Je voulais aider ma mère à gagner de l'argent, elle qui était malade, et ne pouvait pas travailler comme elle le souhaitait.
J'étais plein de rêves, pleins d'espoirs pour faire changer les choses, pour changer le monde et révolutionner les mentalités. J'espérais, à travers mon rôle en tant que soldat, arriver à ne tuer personne, à finir par véhiculer un sentiment de sécurité qui amènerait les gens à la paix. J'étais un idéaliste, à cet âge, et j'espérais bêtement l'impossible. Mais j'y croyais, ou en tout cas, je voulais croire que ça pouvait arriver. Tout comme je voulais croire en l'amour, le vrai. Enfin, croire que je l'avais trouvé.

A 21 ans, on reste un être naïf. Et quand, en revenant d'une mission au Koweit, ma mère m'avait annoncé qu'elle devait quitter l'Oklahoma, et qu'elle avait trouvé un petit poste à Los Angeles, à côté de là où ma tante habitait, je n'ai pas hésité une seconde. Je l'ai suivie. J'ai fait quelques mois à aider la police. Et pendant ce temps, j'ai retrouvé une fille avec qui j'étais au lycée. Danielle. A l'époque, elle me plaisait. Et quand je l'ai revue, c'était comme si on ne s'était jamais perdus de vus. On est restés quelque temps ensemble. Et puis un jour, elle est partie, avec un mot. Elle m'annonçait qu'elle était enceinte. Mais qu'elle partait, elle ne voulait pas de moi comme le père, elle avait trouvé quelqu'un d'autre. Qu'elle voulait comme père de son enfant. De notre enfant. S'en étaient suivies de longues années à tenter de la retrouver, à faire valoir mon droit de père. Mais la loi n'était pas de mon côté. Aux yeux des juges devant lesquels je suis passé, si la mère était partie, elle avait ses raisons. Et c'était son droit de mère qui primait sur ma paternité.

Je suis retourné pendant quatre ans à l'armée, en tant que formateur et sergent de formation. Plein de rage, vaincu par l'injustice. Il n'y avait aucun moyen de récupérer mon enfant, dont j'ignorais s'il s'agissait d'une fille ou d'un garçon. je n'étais même pas sûr de le voir un jour. Enfin, c'était ce que je pensais. Un beau jour, j'ai eu des nouvelles de Danielle. Enfin, pas vraiment par elle. Par une assistante sociale. Une petite Julia est apparue dans ma vie. Elle avait à peu près cinq ans et pleurait Danielle, sa maman, envoyée en prison pour trafic de stupéfiants, avec son mec, le "père" de ma fille. Une petite fille ! Je peinais à y croire. Mais quand elle a débarqué dans ma vie, je venais de quitter l'armée, prêt à reprendre mes études. Des études d'arts. Pour enseigner l'histoire de l'art, ou faire quelque chose dans ce sujet. Parce que c'était ce qui me passionnait vraiment. Je m'en étais rendu compte tout bêtement, au fil des années dans l'armée. Et c'était aussi pour ça que j'avais refusé la nouvelle mission en Syrie qu'on me proposait. De toute façon, la vérité était que ça ne me correspondait pas. J'avais toujours eu des idéaux contraires à ce qu'enseignait la doctrine militaire. Et puis je voulais essayer de me reconstruire. Vivre ma vie, et non vivre dans le souvenir de mon père, ou de l'histoire d'amour ratée que j'avais eu avec Danielle.

Mais pour Julia, la vie avec moi n'était pas assez saine, pas assez stable. Alors, on a conclut un accord avec l'assistante sociale. Elle vivrait chez sa grand-mère. Oui, chez Ana-Maria, ma mère, ravie d'avoir un enfant à s'occuper. Désormais, elle ne pouvait plus travailler, ça la fatiguait plus qu'autre chose. Elle disait s'ennuyer, et que l'arrivée de Julia était un miracle de la vie. Enfin, elle pouvait serrer sa petite fille dans les bras. Depuis deux ans, on essaie de s'accoutumer à la vie ensemble. C'est pas toujours facile au quotidien. Ne pas vivre vraiment ensemble, c'est peut-être ce qui nous empêcher de créer des liens. Mais ce serait presque plus compliqué de vivre chez ma mère. Et puis, il faudrait que j'arrive à me concentrer sur les études, pour obtenir un diplôme et un vrai travail. Et avoir enfin une vie avec ma fille, et une vie sans être mon propre fantôme. Et j'ai l'espoir d'y arriver.
 

Le petit code pour le bottin
 


Code:
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Dernière édition par Fabian N. Sampi le Dim 12 Mai - 15:36, édité 1 fois
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